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4800 m2 : c’est la surface du nouveau bâtiment qui prendra bientôt
la relève des deux sites de Saint-Chéron et Dourdan.
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30/11/2015. À peine un an après le début du chantier, le site tourne à plein !
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Le tri est facilité par la surface disponible.
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Une unité de production pensée pour évoluer.
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Libérer de l’espace au sol en convoyant en hauteur.
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Circuler et travailler en toute aisance…
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Une capacité et une qualité de production boostées par les nouveaux équipements.
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Quand les draps et housses de couette partent en excursion…
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Le linge éponge bénéficie lui aussi des avancées techniques.
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Avec son nouveau site, BSC prépare l’avenir.
Produire plus avec moins d’efforts
Avec ses 4800m2, le nouvel établissement de BSC à Étampes, lui permet de déployer son activité tout en apportant des réponses modernes aux nouveaux impératifs économiques, environnementaux et humains : dépenser moins, polluer moins, prendre soin des personnes.
37 ans d’expérience au service de la performance
Grâce à l’expérience engrangée depuis 37 ans avec nos équipes, nous poursuivons une démarche au service de la qualité dans le blanchissage du linge d’hôtellerie et de collectvités.
Le nouveau bâtiment et les équipements qui y sont construits porte notre capacité de blanchissage à 30 tonnes/jour, avec une qualité de blanchissage supérieure, des économies réalisées et avec un confort et une sécurité améliorés pour nos personnels.
Économies et environnement
Des tunnels de lavage plus longs (de 8 à 12 éléments) permettent d’augmenter le temps de prélavage et de lavage pour un résultat meilleur et, paradoxalement, plus économe en eau, en énergie et en produits lessiviels.
Le bilan d’un kilo de linge traité s’élevait jusqu’à présent à 1,3 Kw et 7 litres d’eau. Le nouveau matériel devrait faire baisser ce bilan à moins d’1 Kw et 5 litres d’eau. Cette dernière est puisée par forage à 53 mètres de profondeur et à 13° en moyenne. Des échangeurs thermiques placés en sortie de circuit, utilisent les calories récupérées de l’eau rejetée pour réchauffer l’eau qui entre dans le circuit de lavage : plus d’économie à l’entrée et moins d’impact au rejet.
Une logistique facilitée
120 m de long, 40 m de large et 10 m de haut, ça fait de la place pour travailler ! Finis les charriots à déplacer constamment au cours du processus et autres mouvements inutiles : les sacs circulent en hauteur, sur des rails qui les acheminent par gravité depuis les quais de déchargement jusqu’aux tunnels de lavage, après le tri et le comptage initiaux.
Un accès et un stationnement facilités pour les camions de la blanchisserie mais également pour les personnels et les clients de BSC, participent à une amélioration des flux.
Moins de pénibilité, plus de sécurité
Pour connaître la pénibilité du travail posté, le confort des personnes est également au centre de nos réflexions et de nos choix d’équipement, depuis l’acheminement par tapis roulant et rails aériens, en passant par des engageuses de housses de couette mieux conçues ou un comptage automatique où le contrôle humain conserve toutefois son rôle primordial.
Parmi les mesures adoptées pour maximiser la sécurité de nos collaborateurs et des installations, les livraisons et le stockage de la chimie ont été spécialement étudiées.
Les produits sont livrés en vrac, afin d’éviter les risques inhérents au déconditionnement des produits par nos équipes ; à l’issue d’un processus rigoureux, visant à interdire tout mélange délétère accidentel, ils sont stockées dans des cuves dites « à double enceinte », afin de prévenir tout risque de fuite, séparées par des cloisons étanches neutralisant toute potentialisation nocive des produits entre eux.
Vues du chantier au jour le jour
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4800 m2 : c’est la surface du nouveau bâtiment qui prendra bientôt la relève des deux sites de Saint-Chéron et Dourdan.
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16/09/2014. Les travaux de terrassement ont déjà commencé.
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16/09/2014. Le futur quai de chargement du linge une fois traité.
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16/09/2014. L’ancrage des poteaux de la future charpente : phase 1, le relevé et l’alignement.
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16/09/2014. L’ancrage des poteaux de la future charpente : phase 3, le coulage des plots.
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17/10/2014. Les charpentes commencent à donner une idée des volumes.
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17/10/2014. Les ancrages, prêts à recevoir les poteaux principaux en acier sur lesquels s’appuient l’ensemble de la charpente.
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17/10/2014. Les poteaux sont boulonnés aux ancres de béton armé pesant … une tonne chacune.
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17/10/2014. Dans un alignement parfait, l’enceinte commence à prendre forme.
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17/10/2014. La rigidité de l’ensemble est assurée par des entretoises solidement boulonnées.
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17/10/2014. La grue autoportée des charpentiers monte les longerons et poutres dans les hauteurs…
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17/10/2014. … où elles sont assemblées par des ouvriers spécialisés travaillant dans des nacelles autoportées également.
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28/11/2014. Du rêve à la réalité…
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30/10/2014. Le toit est en cours de pose, structure, aérations et isolation avancent de concert.
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30/10/2014. Cette vue permet de prendre conscience de l’impressionnante surface de travail.
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30/10/2014. Vue de l’intérieur, la surface impressionne également.
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30/10/2014. La réserve des produits chimiques est construite de manière à limiter les risques sans hypothéquer la surface réservée à la manutention.
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28/11/2014. La couverture et la bardage de l’entrée principale.
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30/10/2014. Une mezzanine ceinture l’édifice. Elle supportera les bureaux et les parties réservées au personnel.
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28/11/2014. Prochaine étape : les huisseries qui assureront le clos.
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28/11/2014. La pose des circuits de gaz (en jaune) et de vapeur est néanmoins déjà commencée.
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. L’entrée principale du bâtiment
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Les bureaux, en mezzanine, ceinturent l’atelier.
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Les convoyeurs de linge, en cours de montage, qui simplifieront le processus.
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Des volumes futuristes… mais fonctionnels.
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Le personnel de BSC à la découverte : la première impression.
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Le personnel de BSC à la découverte : explications manuelles ou manuel d’utilisation ?
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Le personnel de BSC à la découverte : Suivez le guide !
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Quand BSC se déplace : un car, c’est le minimum !…
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La flotte de BSC dans son nouveau port d’attache.
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Nouveau quai de chargement : l’essayer, c’est l’adopter…
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Photo souvenir pour cette première prise de contact.